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Gilles Jacob : La vie passera comme un rêve, Citizen Cannes

dimanche 15 mars 2009, par Olivier Bruaux


Voir en ligne : www.ilovecinema.tv La nouvelle télé du 7e art

Gilles Jacob : Citizen Cannes aux Editions Robert Laffont
- Editeur : Robert Laffont
- Date de parution : mars 2009
- ISBN 2221087399

Le Mot de l’éditeur

"La vie passera comme un rêve"

Son image est indissociable de la « montée des marches » qui fait tant rêver, chaque année sur la Croisette, dans la deuxième quinzaine de mai. Depuis 1977, Gilles Jacob est l’âme du Festival de Cannes. Il en a définitivement fait le premier festival du monde, devenant bien au-delà de nos frontières l’un des hommes les plus influents de la planète cinéma. Mais il en est aussi l’un des plus secrets : la publication de ses Mémoires est donc un événement. Ce grand amoureux du septième art dit joliment qu’il a eu deux vies, la biologique et la cinématographique, sans cesse entremêlées. Son autobiographie est à l’image de cette « double vie » revendiquée : servie par un générique éblouissant (Sharon Stone, Jack Nicholson, Gérard Depardieu, Isabelle Adjani, Orson Welles, Stanley Kubrick, Maurice Pialat, Federico Fellini, Clint Eastwood, Martin Scorcese...), elle associe, avec une rare élégance de style et de pensée, souvenirs intimes et scènes d’anthologie.

Le saviez-vous ?

Olivier bruaux redacteur en chef www.cinephoto.fr www.ilovecinema.fr
- La couverture est une photographie de l’auteur avec Jane Fonda, prise en 1978, deuxième année de sa direction du festival. « J’adore Jane Fonda » s’explique volontiers Gilles Jacob. plus belles rencontres : cannes a la chance d’être la plate-forme mondiale du cinéma

- Le livre fourmille d’anecdotes et de révélations comme celle racontant que Roman Polanski fut un président très dur qui se plaignait tous les soirs de la nullité des films. Gilles Jacob raconte aussi qu’Isabelle Adjanie avait été très capricieuse lors de sa présidence, que Jane Campion ne voulait pas rencontrer Jacques Chirac à cause des essais nucléaires de Mururoa.

- Enfin, Gilles Jacob n’oublie pas de se livrer en parlant de son enfance d’exilé à Nice car étant juif, il subissaient la persécution pendant la guerre.

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Biographie de Gilles Jacob

Après une khâgne au lycée Louis-le-Grand, Gilles Jacob fonde la revue de cinéma, Raccords, puis reprend à Courbevoie l’entreprise familiale d’instruments de pesage qu’il dirigera jusqu’en 1975. Parallèlement, il est critique de cinéma pour Cinéma 64, Les Nouvelles littéraires, L’Express, et coproducteur et animateur du Masque et la Plume (cinéma) avec François-Régis Bastide. En 1976, il est appelé par le Festival de Cannes : d’abord délégué général adjoint, il est nommé délégué général en 1978, développe Cannes sur la scène internationale en fondant la Caméra d’or, Un certain regard, la Cinéfondation et les Leçons de cinéma, puis est élu président du Festival, fonction qu’il occupe depuis juillet 2000. Auteur d’un essai, Le cinéma moderne et d’un roman, Un jour, une mouette (Grasset, 1964), il a publié Les Visiteurs de Cannes (1992) et édité (avec Claude de Givray) la correspondance de François Truffaut (1988). En tant que réalisateur, il s’est spécialisé dans le documentaire de fiction et a produit Chacun son cinéma, film du 60ème anniversaire du festival réalisé par trente-cinq réalisateurs internationaux.

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