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Memory Lane de Mikhaël Hers

mardi 9 novembre 2010, par Olivier Bruaux


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Synopsis

Août, Hauts de Seine, dans la banlieue Sud-Ouest de Paris, sept amis de 25 ans se retrouvent plus ou moins "fortuitement" à passer quelques jours dans cette ville qui les a vus grandir. Chacun a ses raisons d’être là : certains y vivent encore, d’autres y reviennent pour des raisons familiales, d’autres y cherchent des traces d’une adolescence tenace, d’autres pensent peut-être échapper au désoeuvrement ou y trouver l’amour... Pendant une semaine, nous les suivons de manière isolée et en groupe. Au détour des rues désertées de cette ville fantôme, alors que les journées filent sous le bleu profond du ciel d’août, chacun porte en lui l’intuition que ces moments partagés sont peut-être les derniers…

Le saviez-vous ?

Olivier bruaux redacteur en chef www.cinephoto.fr www.ilovecinema.fr Memory Lane est le premier long-métrage du réalisateur Mikhaël Hers. Il avait réalisé auparavant plusieurs courts et moyens-métrages dont Primerose Hill et Montparnasse, lauréat du prix Jean Vigo en 2009.

L’actrice Lolita Chammah, fille d’Isabelle Huppert, et le réalisateur Mikhaël Hers se connaissent bien : il s’agit de leur deuxième collaboration après Montparnasse.

Le mot du réalisateur

"Memory Lane, c’est un peu le chemin du souvenir, une voie que se fraierait la mémoire pour faire émerger des images ou des sensations plus impressionnistes. Mais que ce soit un lieu fantasmé comme ici ou alors bien réel comme le quartier de Montparnasse, le titre définit avant tout un espace dans lequel va évoluer mon imaginaire et donc mes personnages."

"J’avais une idée précise des thèmes que je voulais aborder et des différentes histoires à raconter pour y parvenir. Je désirais raconter la naissance d’une histoire d’amour, la dérive d’un personnage en pleine crise existentielle ou encore l’irruption de la maladie dans une famille… Mais j’étais surtout porté par une atmosphère et des sensations moins facilement saisissables."

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