Luc Besson l’a toujours dit, il ne fera que dix films. C’est donc avec Arthur et les Minimoys qu’il clôt sa propre légende parsemée de succès. Isn’t it ironic ? Don’t you think ? ? N’avait-il pas mis en marche sa propre légende avec Le dernier combat ?.
Loin d’avoir planifié sa carrière avec ce jeu de mot prémonitoire, le maître français veut s’en tenir à la distribution et la production dans de nouveaux studios français qu’il espérait installer sur l’île Seguin. Ses derniers combats sont (...)