La cérémonie fut dominée par l’émotion de deux actrices Marina Hands et Mélanie Laurent et d’un grand et jeune réalisateur, Guillaume Canet. Grâce au rythme et la touche de folie de Valérie Lemercier, les Césars ont retrouvé l’éclat que les précédentes prestations molles avaient terni. Il ne faudra pas pour autant oublier le très applaudis discours de Pascale Ferran afin de défendre les intermittents du spectacle.
Indigènes de Rachid Bouchareb n’aura pu confirmer son statut de favori suite (...)