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Eragon de Stefen Fangmeier (2005)

mercredi 20 décembre 2006


Voir en ligne : Site Officiel

Eragon est adapté du best-seller d’héroïc-fantasy écrit par Christopher Paolini publié en 2005. Le long-métrage est la première réalisation de Stefen Fangmeier, plus habitué au côté cour. En effet, ce dernier est un spécialiste des effets spéciaux (Signes, Master and Commander : de l’autre côté du monde ou les désastreuses aventures des orphelins Baudelaire).

Synopsis

eragon poster Edward Speleers, Jeremy Irons, John Malkovich Il y a bien longtemps, Alagaësia, terre vallonnée absolument féerique, connaissait une paix et une prospérité incommensurables grâce aux dragonniers et à leurs fabuleux dragons magiques. Mais, un jour, Galbatorix (c’est le vilain-méchant-pas-beau-jaloux) trahit ses confrères pour accéder au pouvoir suprême. Oui, oui ! vous pouvez huer ce sale type ! Heureusement, des rebelles refusent la dictature du félon (ouf ! On a eu chaud !). Et, puis, un beau matin (ou peut-être une nuit), Eragon (c’est le héros ! Un p’tit blondinet de 17 ans un peu cruche) trouve une pierre bleue. En fait, il s’agit d’un œuf de dragon (je vous avais bien dit qu’il n’était pas très futé, notre brave fermier). Naît alors un bébé dragonne. Nous avons tous les ingrédients : alors, c’est parti !

Notre Avis

Je commence par une mise en garde : à la naissance, le bébé dragonne a une bouille improbable (j’étais à deux doigts d’adopter à la sortie du cinéma). Alors, si vous êtes les heureux parents de charmantes têtes blondes, je vous conseille d’expliquer à vos petits que les dragons n’existent pas et que, non, ce n’est pas possible d’aller en acheter un au magasin.

En matière plus cinéphile, Eragon est un conte de fées très simple. Nous avons le mécréant (Galbatorix pour ceux qui ne suivent pas ce que je raconte) campé par John Malkovitch en pleine forme. Il joue royalement son rôle d’abominable avec un plaisir certain. Et puis, le héros (Eragon donc), un jeune fermier naïf qui se retrouve dragonnier surdoué du jour au lendemain. Edward Speleers, son interprète, impose cette fraîcheur et cette maladresse propres de l’adolescent qui se retrouve sous les feux de la rampe. Il rend donc le rôle crédible. Ensuite, je vous le donne en mille : une histoire d’amour. Bah, oui ! Si le jeune homme ne tombe pas amoureux de la jolie et courageuse princesse, ce n’est pas marrant. Enfin, en vrac et dans le désordre : le mentor (Jeremy Irons dans le rôle de Bom) rongé par la culpabilité, le sorcier maléfique, une armée de monstres aux vilains faciès qui suivent les ordres du traître, les rebelles dont Eragon prend la tête après le super-tour-de-force-de-la-mort-qui-tue (la scène est délire : on se croirait sur des montagnes russes), les séquences émotion, (la séparation des amoureux transis), des effets d’annonce hilarants (« Le temps des dragonniers est revenu ! » : on est soulagé, ça veut dire que le gentil gagne à la fin), des paysages sensationnels, une super baston finale et un cliffhanger plutôt adroit annonçant le deuxième épisode de la trilogie.

Au final, un film qui n’a rien d’extraordinaire mais dont on sort content d’avoir passé un bon moment.

Le coin lecture, musique et jeu

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Fiche Technique

Genre : Fantastique

Nationalité : Américaine

Réalisation : Stefen Fangmeier

Casting : Edward Speleers, Jeremy Irons, John Malkovitch et Rachel Weisz

Durée : 105 minutes

Année de production : 2005

Date de sortie : 20 Décembre 2006

Budget : 100 000 000 $

N° de visa : 116 424

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