I love cinema

Accueil du site > Critiques & Films > Films non critiqués > Seuls Two de Eric et Ramzy

Seuls Two de Eric et Ramzy

jeudi 1er mai 2008, par Olivier Bruaux


SEULS TWO

Un film de et avec Eric et Ramzy - Comédie - Sortie nationale le 25 Juin

Gervais, policier à Paris, maladroit et entêté, est la risée de son commissariat. Depuis des années, il file sans relâche, un esthète de la cambriole, drôle et narquois, Curtis qui, chaque fois, lui échappe et le ridiculise. Un beau matin, après une course poursuite manquée, Gervais se réveille dans une capitale vidée de tous ses habitants. Tous ? Pas tout à fait. Un second individu fonce dans les rues désertes au volant d’une Formule 1 : Curtis ! Voilà nos deux héros seuls au monde, peut-être l’occasion d’enterrer la hache de guerre et de profiter de la situation...Mais ce serait sans compter sur la droiture de Gervais et surtout sur son obstination. Pour lui, la place de Curtis est en prison et rien ne saurait le faire dévier de sa mission...

Notes de production et interview

Le premier long métrage d’ERIC ET RAMZY Seuls Two est le premier film dirigé par les compères Eric Judor et Ramzy Bedia, également scénaristes et interprètes principaux.

"Comme d’habitude, on a écrit le scénario, puis on s’est mis en quête d’un metteur en scène. On en a rencontré un, puis deux, puis trois... On a fini par se dire "Et si on le faisait nous-mêmes ?" Avant, tout ce qu’on voulait, c’était s’éclater sur le tournage ; aujourd’hui, ce qui nous éclate, c’est d’arriver sur le plateau et de voir que tout correspond à ce qu’on avait en tête au moment de l’écriture, jusque dans les moindres détails. On a grandi, quoi. Assumer la réalisation, c’était le meilleur moyen de ne pas se sentir dépossédés à l’arrivée. Seuls 2 est un film qui nous tient à coeur. Cette idée d’une course-poursuite entre un petit flic et un petit malfrat dans une ville vide, elle vient d’un rêve de gosse : celui de se retrouver enfermés dans un grand magasin et de pouvoir faire ce qu’on veut, un peu comme le gamin dans Le Jouet. Cela rejoint ce fantasme d’enfance d’avoir des lunettes qui permettent de voir à travers les murs, ou d’une machine qui permettrait d’entendre les pensées des gens, un peu comme dans Ce que veulent les femmes. On est dans ce registre-là, celui de la comédie conceptuelle. Disons que pour la première fois, il y a du fond... 2,20m, environ."

Répondre à cet article



photos critiquephotos critiquephotos critiquephotos critiquephotos critiquephotos critiquephotos critiquephotos critiquephotos critiquephotos critiquesphotos critiquephotos critique
Cliquez sur les affiches pour les photos & critiques