Le mot de la fin d’Olivier BruauxUn tabou est levé et bien que nul ne soit prophète en son pays, il fallait bien qu’un jour l’on cessât de ne pas considérer les (véritables) meilleurs espoirs du cinéma comme les meilleurs acteurs. Jacques Audiard l’a fait en permettant la consécration de son jeune interprète inconnu Tahar Rahim.
Il ne fallait pas non plus être devin pour deviner que l’Académie des César allait rectifier l’injustice de la Palme d’or du Festival de Cannes 2009 promise à (...)