source : dossier de presse du long-métrage
Quelles étaient les conditions de tournage de La couleur des mots ? Extrêmement modestes !... Cela m’a coûté un peu plus de trois mille euros, majoritairement les repas, quelques moyens techniques, quelques frais. Tout le reste a été prêté, donné, ou mis en participation ; les comédiens et techniciens ont travaillé bénévolement.
Etait-ce une volonté idéologique de faire un film à si bon marché ? Pas du tout ! Je n’ai aucun fétichisme de la pauvreté et (...)